Agriculture et, spéculation (suite du 21/2/12)

Biens communs ou biens spéculatifs?!

La production agricole est variable d'une campagne à l'autre.

La libéralisation mondialisée du marché est passée par le démantèlement des organismes publics.

La sphére spéculative profite des disparités de valeur dans le temps et dans l'espace et attise  l'instabilité pour profiter de cette volatilité des prix. L'appropriation injuste de la valeur ajoutée agricole par une oligarchie de négociants (traders) et de firmes cyniques* est scandaleuse par ses conséquences dramatiques sur des populations.

Il faut un retour à la gestion publique de stocks d'interventions, une obligation de publication de la position de tous les opérateurs, un encadrement des ventes à découvert (ventes de marchandises non possédées!...).

La production agricole est un bien commun et doit être gérées pour le bien de tous comme le propose le Front de Gauche.

L'Humain d'abord .   Humanité vient de HUMUS, (comme humilité).

*Monsanto ou Cargill dictent les modes de développement de l'agriculture mondiale, puisqu'elles fabriquent à la fois les engrais, les pesticides, et...  les médicaments censés soigner les maladies provoquées par les pesticides!

Des agriculteurs veulent cesser d'exploiter la terre, c'est-à-dire, la maltraiter. Plutôt qu'exploitants, ils veulent être des paysans qui nourissent les hommes, font le pays et ses paysages.

Comme des banques sont infestées par des produits toxiques, la terre est infestée par des produits nocifs: il faut cesser de la prendre pour une boîte chimique!

 La planification écologique au programme du Front de Gauche va dans ce sens.